Vous passionnant pour la brocante et les antiquités, cela fait des années que vous parcourez les vide-greniers à la recherche de la perle rare. Et aujourd’hui vous aimeriez bien en faire votre gagne-pain. Voici comment procéder
En quoi consiste cette profession ?
Endossant jusqu’ici le rôle de chineur, vous vous contentiez de faire le tour des vide-greniers, ainsi que des marchés aux puces trouvés sures Au fil des Brocantes. Seulement voilà, à force de tout le temps acheter, vous avez fini par accumuler de véritables trésors dans votre sous-sol, au point d’encombrer votre maison. Pour libérer de l’espace dans votre logement, vous songez alors sérieusement de les vendre et de devenir brocanteur à votre tour.
Attention cependant, il convient avant toute chose de faire la distinction entre brocanteur et antiquaire, dans la mesure où il y a souvent confusion. En effet, tous les deux commerçants d’articles d’occasion, le premier proposent à sa clientèle un très large panel d’objets déjà usagés. Cela peut-être des livres, des vêtements, des bijoux, des appareils électroménagers, des meubles, des équipements sportifs, ou encore des bibelots.
Le deuxième quant à lui ne commercialise que des marchandises référencées, comme des meubles ou des jouets anciens, par exemple. Ces derniers sont souvent essentiellement destinés aux connaisseurs et aux collectionneurs. Sinon, l’autre différence entre les deux est que l’antiquaire restaure les articles qu’il vend, alors que ce n’est pas le cas du brocanteur.
Les démarches et les formalités
Quoi qu’il en soit, pour épouser la profession de revendeur d’objets d’occasion, vous devez vous inscrire au registre du commerce. Vous aurez alors le choix entre trois statuts que sont : une société commerciale, un entrepreneur individuel, ou un auto-entrepreneur (plus d’info sur ce site). Par ailleurs, une déclaration préalable en tant que brocanteur sera obligatoirement à faire aussi auprès du registre des revendeurs d’objets mobiliers usagers.
Par la suite, le gérant doit tenir régulièrement à jour son registre de police. Et comme son nom l’indique, ce livret doit-être préalablement être signé par le commissaire de police de la commune où est localisé la brocante, ou paraphé par le Maire et cela avant même que la boutique n’ouvre ses portes.
Sans ratures ni gribouillages, seront à mentionner dans ce cahier l’origine des articles à vendre, ainsi que les noms et les adresses des personnes à qui le brocanteur les a achetés ou échangés. Sans oublier leurs prix d’achat et le mode de paiement. Ce métier est tout simplement très réglementé pour éviter les recels et les ventes d’objets volés.
Je voudrais bien avoir mon numéro de série pour avoir mon entreprise de brocanteur mais le problème que j’ai je n’ai pas le coin pour me poser
Je viensuite de voir que le message date de 2016 …
Alors ou en êtes vous?
J’aimerais beaucoup devenir brocanteuse…..